
Au Bénin, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) « peut être autorisée » jusqu’à douze semaines, à la demande de la femme enceinte. Celle-ci peut intervenir « lorsque la grossesse est susceptible d’aggraver ou d’occasionner une situation de détresse matérielle, éducationnelle, professionnelle ou morale », précise la loi relative à la santé sexuelle et la reproduction.Cette nouvelle disposition légale n’est pas du goût de l’Église catholique. Une position que l’aumônier des cadres et personnalités politiques, le Père Nathanaël Soédé a réaffirmé sur les ondes Bip Radio. Il soutient qu’on pouvait mieux panser les plaies et indique une piste de solution.Écoutons-le