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« J’étais venu à Porto-Novo pour lancer un festival, mais ça n’a pas pris ! », se désole le Directeur Général du Centre National de la Cinématographie du Niger (CNCN). Car pour lui, la capitale du Bénin est une souche de films documentaires. C’est l’une des raisons qui le motive à présider le jury du Festival International de Film Documentaire qui se tient au cœur de cette ville. Il jette un regard sur l’évolution du film documentaire en Afrique, encourage les jeunes qui s’y intéressent et appelle les autorités à leur responsabilité. Magori Sani est au micro de Edouard GNANSOUNOU.
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