
Le cinéma mondial se met au vert pour la préservation de l’environnement. D’ici 2023, chaque producteur aura à fournir son bilan carbone comme c’est déjà le cas aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Allemagne.
Entre autres précautions à prendre, les acteurs doivent avoir recours à un éco-référent dont le rôle est d’évaluer les dépenses énergétiques des tournages et y remédier.
Les épisodes des forêts brûlées comme ceux d’Apocalypse Now ou encore des voitures détruites telles que celles de Fast and Furious devront être conjuguées au passé. Dans les jours à venir, un logiciel sera développé pour enregistrer toutes les dépenses de CO2 afin d’identifier ce qui pollue le plus sur les tournages. Plusieurs acteurs accompagnent déjà l’initiative. C’est le cas du réalisateur français Clovis Cornillac, qui va désormais sur les tournages à vélo.
Edouard GNANSOUNOU

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