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Les initiales de son nom sont O. K. Elle figure parmi les 63 femmes et enfants, fidèles de l’église Azaël toujours retenus dans un centre à Savalou après les évènements du 29 janvier 2022 à Monkpa. Nous l’avons interrogée comme d’autres personnes dans le cadre des investigations que nous menons pour faire comprendre à l’opinion ce qui s’est réellement passé. En plus de tout ce que les autres fidèles affirment avoir enduré, dame O. K. fait part d’un viol collectif dont elle a été l’objet ce matin-là du 29 janvier. Trois policiers auraient de force tenu de rapport sexuel avec elle dans la brousse. Des armes pointées sur elle d’autres policiers la tenant, les autres la violant à tour de rôle. En langue mahi, elle décrit les circonstances suivi d’une traduction de Crystal News.
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8 commentaires
Là, il faut mener l’enquête et décourager cette pratique malsaine et odieuse. Nous sommes dans un pays laïc.
C’est grave
Une femme qui est supposée avoir été vraiment violée et de surcroît par trois hommes ne peut se mettre à raconter l’histoire de son viol de cette façon. Impossible . Que cette femme cesse de faire honte à la gente feminine.
Bonjour cher ami, et merci de votre passage sur ce site
Ce sont allégations fallacieuses, pur montage . C’est du canular.
Ils doivent subir les rigueurs de la juridiction.
C’est plutôt l’agressivité
Vraiment c’est très grave il faut punir avec la dernière rigueur de la loi.
Du pure mensonge, rien de logique dans cette déclaration.
C’est qui arrive quand on décide de tout mettre sur la tête de l’homme en uniforme. En tout, n’oubliez pas que c’est toujours à eux vous faites vos derniers recours en cas de danger sécuritaire. Dieu veille et la nature prendra vengeance à coup sûr……