Depuis le 30 avril 2020, les arrêts de la Cour de Justice de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) rendus au sujet de violation des droits humains au Bénin sont nuls et de nul effet. C’est ce qu’a signifié une décision de la cour constitutionnelle du Bénin depuis cette date. Une décision qui depuis lors complique davantage les choses à des citoyens béninois dont les droits ont été violés. Malgré cette situation tout n’est pas encore perdu, rassure l’avocat Éric BIZIMANA, Juriste Principal à l’Institut pour les Droits Humains et le Développement en Afrique (IHRDA). Pour lui, ce n’est la décision d’une cour qui lie l’État mais bien une convention que ce dernier a ratifié. En de pareilles circonstances, comment les victimes peuvent malgré tout jouir de leurs droits ? Virgile AHOUANSÉ lui a posé la question. Nous vous proposons la réponse de Maître Éric BIZIMANA
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Samuel HOUNDJO
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