« L’Association des États du Sahel sacrifie certains de ses enfants pour pouvoir grandir », déplore l’Abbé Raymond Goudjo. Et c’est bien là le péché mignon de ses dirigeants, selon le Prêtre de l’Église Catholique. En conséquence, le docteur en théologie et spécialiste de la morale sociale a des doutes quant à l’aboutissement des projets de cette Organisation. Raymond Goudjo a déroulé sa réflexion sur l’invitation de l’Institut des Artisans de Justice et de Paix – IAJP le 18 juillet 2024 au Chant d’Oiseau de Cotonou. Suivez les détails. Propos recueillis par Edouard GNANSOUNOU
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Samuel HOUNDJO
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1 Commentaire
C’est une analyse de psychosociologie politique qui dépasse un peu la spécialité d’un sociothéologue ordinaire. Sa déclaration sur le supposé sacrifice des enfants de l’AÉS est un jugement sans fondement scientifique et un précédent diplomatique qui peut d’être excusé étant donné que l’essai de l’auteur ne vient pas d’un politologue chevronné.
Il a dit son avis mais personne décrétera un fatouah à son encontre.