Dans un contexte de méfiance croissante envers les vaccins, Jules Affodji interpelle sur les dangers potentiels pour les enfants africains et exhorte à valoriser la médecine traditionnelle. Il soulève des questions cruciales sur la santé publique en Afrique, appelant à un urgent réexamen des choix en matière de soins.
Au-delà du vaccin mortel, la médecine africaine !La bataille pour la vaccination des populations du Bénin quand ces dernières meurent en silence faute de la prise en compte de la médecine traditionnelle, point de mystère et point de mensonges pour mystifier et mythifier le peuple.Le mythe du vaccin est en train de tomber dans le monde avec ses masques. Il s’avère nécessaire de signaler que tout ce qui fait l’énigme dans la vie finit par finir; en d’autres termes, c’est pour la première fois, du jamais vu et du jamais entendu, nous apprenons au vingt-et-unième que le vaccin est un danger pour les populations. D’autres ont fait remarquer que les vaccins sont fabriqués pour décimer la race noire. Du vaccin ! Oui du vaccin ! C’est bon à savoir le drame, la catastrophe voire le massacre qu’il fait vivre aux paisibles populations qui, toutefois possèdent des remèdes à ses maux à travers sa médecine traditionnelle.J’ai le sentiment de mal-être, quand j’entends le Dr Robert Malone, l’un des inventeurs de la technologie de vaccination par ARNm donner un avertissement urgent sur la vaccination des enfants. Son explication doublée de l’avertissement force l’admiration ; car il clarifiait que le germe injecté dans la cellule, ce germe, une fois dans le corps des enfants oblige ce dernier à produire des protéines toxiques. Ces protéines toxiques causent souvent des dommages insidieux aux organes vitaux des enfants. Il s’agit entre autres organes, du cerveau, du cœur, du système nerveux. Il est noté que ces vaccins peuvent déclencher des mutations fondamentales dans le système immunitaire des enfants. Ces transformations ne peuvent pas être inversées. On ne peut pas réparer, par exemple, la lésion du cerveau.En effet, pour mieux agir, il faut, d’abord connaître les risques et dommages des vaccins avant de faire vacciner les populations. Ensuite, il faut savoir, savoir ce qu’est la moralité de ceux qui envoient des vaccins et surtout ceux qui sont justes. Il est bien vrai que l’on ne peut pas mesurer la moralité ni l’intégrité de ceux qui viennent en aide aux pays les moyens avancés. Enfin, cependant, il convient d’admirer non pas les hommes qui font parfois le bien par hasard, mais ceux qui le feront toujours, parce qu’ils savent en quoi il consiste et comment le réaliser dans ces pays dits pauvres.Vu le mal que peuvent causer les vaccins aux enfants africains en général et à ceux du Bénin en particulier, n’est-il pas temps de valoriser la médecine traditionnelle de chez nous ?Evidemment, si l’on ne veut pas la mort massive des Noirs, il faudra qu’on repense le système de vaccination avec les vaccins des occidentaux ; ces fabricants de vaccins ne sont pas des philanthropes même s’ils sont riches. J’ai la triste impression que les industriels occidentaux par le biais des cadres africains déstabilisent le moyen africain de soigner les maladies, ils qualifient les Guérisseurs de Satan et de diable et conduisent l’Africain vers la catastrophe vaccinale. Leurs objectifs ne sont pas d’empêcher les Hommes d’être malades mais de commercer avec les Etats de l’Afrique. La médecine moderne a montré ses limites dans le traitement des maladies. Donc il faut de la médecine africaine pour la promotion de la santé humaine.Y a-t-il un avantage à vacciner les enfants et les familles contre les risques les menace des virus ?Je suis tourmenté, perturbé que l’analyse des risques et des bénéfices est loin d’être équilibré en ce qui concerne le vaccin pour enfant. Jules AFFODJI