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Selon le préfet du littéral Alain OROUNLA, l’objectif de cette séance est d’expliquer aux acteurs du transport en public, les motivations qui sous-tendent la volonté de réorganiser, le secteur urbain à Cotonou.
Par ailleurs, le Chef du département du littéral révèle que cette séance participe de l’assainissement de cette faîtière, de régler les problèmes de mobilité urbaine et de désengorgement de la ville de Cotonou.
L’ancien porte-parole du gouvernement n’a pas manqué d’indiquer que les deux sites retenus répondent à une rationalisation géographique.
Abondant dans le même que l’autorité préfectorale, le deuxième adjoint au maire de Cotonou martèle que dès le lundi 29 novembre, les deux sites de regroupement seront opérationnels.
Tout ce qui est taxi qui arrive de Porto-Novo, s’arrête à Abattoir et ne rentre plus dans la ville de Cotonou. Ceux qui quittent Calavi, Bohicon, Lomé et autres localités vont sur le site de regroupement de vodjè, précise-t-il.
Tout ceci pour améliorer la mobilité à Cotonou a conclu Gatien Adjaboni, deuxième adjoint au maire de Cotonou.
Serge AVIDJEME
Alain OROUNLA
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2 commentaires
Toutes mes félicitations, Mr le préfet. Les mini-bus font trop de dégâts dans la ville.
J’espère que ces deux sites conviennent bien aux usagers. Et l’autre chose, c’est la réforme qui voudrait rallonger les coûts de transport de nos usagers. Le coût de la vie étant ce qu’il est de nos jours, je me demande s’il en valait la peine de nous crucifier.
On attend comment la population va apprécier une telle réforme