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Mise en cause par le chef du village Ouanho dans la commune d’Avrankou et plusieurs autres comme celui par qui la crise est arrivée, Degnon Medjigbodo Kpoviessi donne sa version des faits. Il explique comment on en est arrivé à la suspension d’accès à la mare sacrée Zèkpon Adonon. Au micro de Samuel HOUNDJO, ce dignitaire de la religion endogène s’en remet à l’autorité traditionnelle pour la résolution de cette situation. Écoutons-le.
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1 commentaire
Je vous avais exhorté à rechercher la version de la partie d’en face…et vous l’avez fait.
On constate que tout n’était pas aussi limpide que ça dans la version du chef village.
Félicitations pour cette marque de probité dans votre profession…
On attend donc patiemment la suite.
Point final.